dimanche 13 décembre 2009

Recherche identification d'uniforme (RÉSOLU)

J'ai reçu cette photo prise en 1942 de mon arrière-grand-père. La photo a été prise dans la région de Shawinigan et je cherche à identifier l'uniforme qu'il porte.

Est-ce que quelqu'un reconnaît cet uniforme? L'homme s'appelle Alfred Levasseur (fils de Nazaire et Obéline Béland) qui épousa Annette Champagne en 1925 et résida dans la région de Shawinigan et Grand-Mère.

dimanche 22 novembre 2009

Recensement 1901

AU SECOURS!

Je cherche l'endroit de résidence de mon arrière-arrière-grand-père NAZAIRE LEVASSEUR fils de Joseph Levasseur et Lumina Foucault. Il n'est toujours pas marié en 1901. Il le fera en 1903. J'ai épluché tout le recensement de St-Léonard où ses parents et ses frères et soeurs habitent. Lui, il n'est nulle part!

Quelqu'un peut m'aider!

lundi 30 mars 2009

Occupation: Mendiant

Le registre de Saint-Germain-de-Grantham recelle des trésors cachés en faits divers.



Le prêtre Joseph Tessier écrit le:

Le neuf janvier mil huit cent soixante douze nous soussigné Prêtre curé de cette paroisse avons inhumé dans le cimetière de cette paroisse le corps deAntoine Desmarais en son vivant , mendiant, époux légitime de Louise Dubreuil décédé le sept du courant en cette paroisseà l'âge d'environ soixante-quinze ans.


Mendiant de son vivant! C'était son métier donc, car en général on y retrouve cultivateur ou simplement journalier.


Connaissez-vous des cas du genre? Cela m'intéresse vivement!

samedi 28 mars 2009

Qu'est devenue Jeanne Spénard?

source image: Actes d’état civil et registres d’église du Québec (Collection Drouin), 1621 à 1967 - Notre-Dame de Québec 1691-1703 (ancestry.ca)
Un mystère plane sur la vie d'adulte de Jeanne Spénard. Jeanne est dans la première génération de Spénard à être née en Nouvelle-France. Elle est la fille d'André Spénard (SPENNERT) et de Marie-Charlotte Arnaud (RENAUD).


Elle naît en janvier 1696 et est baptisée à la paroisse Notre-Dame de Québec. Elle est toujours vivante au recensement de 1717. Sa mère est déjà décédée. Elle vit avec son père et ses frères. Elle est âgée de 21 ans. Son père décédera l'année même en 1717. Les frères de Jeanne sont placés soit en apprentissage ou ils sont autonomes, mais elle que deviendra-t-elle?
Jusqu'à ce jour, je n'ai pu trouvé aucun acte de sépulture ni actes notariés révélant la vie adulte de cette jeune fille. Est-elle entrée dans une congrégation religieuse ou morte tout simplement? Je continue mes recherches et je continue d'espérer qu'un jour peut-être...

samedi 14 mars 2009

Cas insolite

Le père et le fils marie deux soeurs...! :)

J'étais en train de faire de l'entrée de données pour la société de généalogie dont je fais partie. Et j'ai rencontré un cas bien insolite et comique.

Etienne Faucher a un fils de sa première femme Josephte Permin qui portera le même nom que lui. Le 24 avril 1792, il se remarie à Charlotte Turcotte fille de Joseph et Catherine Dupaul. Son fils Etienne, lui, se mariera 5 ans plus tard avec la soeur de celle-ci. Soit le 1 mai 1797 à La Baie avec Antoinette Turcotte.

Ce cas démontre la différence d'âge que pouvait avoir des époux et que la famille était tellement étendue sur plusieurs années que cette situation pouvait arrivée. Bien comique quand même!

Bonne recherche!

jeudi 19 février 2009

Obstacle historique

Ouf! Quelle tuile!

J'étais à écrire un article pour le journal de notre société quand je me suis rendu compte de ma gaffe.

J'écrivais sur mon premier ancêtre Spénard, le maitre coordonnier quand je me suis rendu compte de la discordance de date. Selon mon article, il habite sur la rue Saint-Anne dans le vieux Québec et loue une maison sur la rue Sous-le-Fort beaucoup plus tard dans sa vie.

Pourtant, André et sa femme sont cités à témoins dans une affaire d'avortement. Marie-Barbe, femme du bourreau de Québec, est acccusé d'avoir tué son enfant à naître et elle HABITE chez Spénard rue SOUS-LE-FORT... Oh!Oh! ça fonctionne pas dans mon histoire!

à suivre!

samedi 29 novembre 2008

Ah quand tout a commencé!

Quand j'ai commencé à faire de la généalogie, je ne croyais pas que c'était si compliqué et qu'il y avait autant de règles et de non-dits. Ce qu'on te dit pas au début c'est qu'en tant que jeune généalogiste tu susciteras beaucoup de contreverse. Des expérimentés seront prêts à te mettre sous leurs ailes, mais d'autres auront beaucoup de préjugés comme dans la vraie vie. Mais toi, tu penses que c'est n'est qu'un passe-temps et un jour tu y passes de plus en plus de temps. Aujourd'hui, je passe plus de deux heures par jour à faire de la généalogie. Sois je fais de la recherche, soit de la saisie pour moi-même, sois je trie des notes, sois je trie des photos, sois je travaille pour mon prochain CA (conseil d'administration).

Une roue sans fin. Mais j'adore. J'adore ces détails qui font que tu peux compléter ton histoire bout par bout, date par date, nom par nom...

Je me présente Angélique, généalogiste âgée de 28 ans. Oui, oui 28 ans et je ne me rajeunis pas. J'ai aimé dès le début faire de la recherche. Demandez-moi pas comment ça a commencé, je ne m'en rappelle plus. Ce n'était pas pour l'école ça, j'en suis certaine. L'histoire m'a toujours intéressé mais on ne parle pas de généalogie dans le programme d'histoire au Québec. En tout cas, on n'en parlait pas dans mon temps.

Je fais des recherches sur la famille Spénard, tous les Spénard. D'ailleurs, il y a eu un seul arrivant Spénard au Québec selon mes recherches. Il s'agit d'André Spénard arrivé vers 1689 en Nouvelle-France à Québec. Il se mariera en 1690 à Marie-Charlotte-Thérèse Arnaud (appelé parfois Renaud). C'est un maître-cordonnier qui aura divers problèmes avec l'administration en place. Selon les documents officiels, on voit tout de suite que ce n'est pas un enfant de coeur.

Pour l'instant, je me concentre sur cette branche de la famille. C'est du côté de ma grand-mère maternelle et j'ai commencé par là. J'ai commencé de ce côté parce que ma grand-mère croyait que son arrière-grand-mère était indienne et on voulait tirer cela au clair. Mais pour l'instant, je n'ai rien prouvé qui le prouve et je cherche toujours pourquoi mon arrière-grand-mère affirmait cela. D'ailleurs, 75% de la population du Québec a l'air de croire qu'elle a du sang indien dans les veines. Quand dans le fond, on en voit très peu dans les lignées des divers québécois actuels.

Bon bien, je vais aller trier encore quelques photos avant d'aller dormir et je vous reviens une autre fois.

Je vous parlerez des obstacles rencontrer par les généalogistes et surtout, par les jeunes généalogistes!